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Rencontre Cosmetopôle Occitanie : qualité et traitement de l’eau en cosmétique

Jeudi 26 juin à Nîmes, Cosmed, organise la nouvelle Rencontre de son Cosmetopôle Occitanie.

Dans un contexte régional marqué par des épisodes réguliers de sécheresse et par une actualité médiatique et réglementaire sur les PFAS, visant notamment le secteur cosmétique, cette industrie s’est saisie de la question de la qualité de l’eau. En effet, 80 % de l’eau utilisée en cosmétique est dédiée à sa fabrication. Cette rencontre, soutenue par la Région Occitanie, Ad’Occ, Aqua-Valley et l’Université de Nîmes, rassemble les industriels de la cosmétique régionale autour des défis croissants liés à l’eau.

La matinée sera consacrée à des visites de laboratoires :

  • Le laboratoire universitaire CHROME (Université de Nîmes), spécialisé dans les risques environnementaux et sanitaires liés à l’eau.
  • Le laboratoire Phytocontrol, expert dans l’analyse des eaux.

L’après-midi se déroulera autour d’une série de conférences et d’une table ronde réunissant des experts issus de la recherche, de l’industrie et de l’ingénierie environnementale.
Ensemble, ils dresseront un panorama des défis actuels liés à la qualité, à la réglementation et à la gestion durable des ressources en eau, avec un focus particulier sur leur usage dans le domaine cosmétique.

Après une introduction contextuelle, les interventions aborderont des thématiques clés telles que l’état des eaux en région Occitanie, les évolutions réglementaires (notamment sur les PFAS et la directive DERU), ou encore l’évaluation des risques hydriques à travers des outils innovants. Une attention particulière sera portée à la préservation des eaux thermales, ressource précieuse pour l’industrie, illustrée par des retours d’expérience concrets.

La journée se conclura par une table ronde collaborative autour des problématiques liées aux eaux usées en cosmétique: leur caractérisation, leur impact écotoxicologique et les solutions de traitement à mettre en œuvre avant rejet.
Ces temps d’échanges permettront de croiser les regards scientifiques, techniques et industriels, et d’ouvrir des pistes vers des pratiques plus durables.

Avec le soutien de